Comment choisir son coach ?

Quel algorithme me serrait alors dans ses bras et pour quoi ? Mais il faut bien le dire entre rêve et réalité ce petit moment de reconnaissance, je l’embrassais avec l’enthousiasme nourri de ce besoin de la dignité qui venait dire, je m’adresse à toi, je te reconnais et nos chemins se croisent. La magie des algorithmes complète t’il sans le détrôner l’indéfectible bouche à oreille ?

Tout ça pour dire que je suis – indépendamment de ma présence sur la toile – une vraie personne qui accompagne ses clients  exclusivement à distance. On fixe nos 5 rendez-vous et on se retrouve pour avancer ensemble en distantiel.

Bienvenue dans la communauté des dreamupers afin d’élucider comme je l’ai fait, le mystère de la vocation, d’embrasser ce processus de réenchantement, de décrypter les pleins et les déliés de cette vie qui gâte autant qu’elle met à l’ épreuve.

Quand une petite voix, en naviguant sur ma page vous chuchote :

“quel heureux hasard !“
“ C’est incroyable, c’est exactement ce qui me fallait!“
Vous avez besoin d’y voir plus clair, trouver des réponses aux problèmes que vous rencontrez, franchir les bons seuils, prendre les bonnes décisions…

Moi j’avais toqué chez Myriam ; ma première coach, elle est aujourd’hui ma superviseure alors qu’au tout début elle n’était qu’un nom sur une liste et c’est  là que tout a basculé pour moi !
Mes perspectives professionnelles semblaient ne plus me réjouir.J’avais alors décidé de faire un bilan de compétences, de changer d’univers et je me suis formée.

Pas facile de changer de boulot quand vous en avez déjà un, plutôt bien payé et qu’il faut penser aux fins de mois.

Alors suis retournée au boulot une fois ma formation achevée. J’ai croisé le regard d’Isabelle sur un salon, on a échangé et ce fut ma deuxième expérience de coaching en tant que cliente.
Comment concilier mon travail actuel, l’intégration dans ma vie de mes nouvelles compétences et surtout me lever le sourire au lèvres et me coucher satisfaite d’une journée riche de sens? Voilà où j’en étais en 2010…
J’ai alors réduit mon temps de travail et poursuivi mes pérégrinations universitaires.
Et me voilà à l’aube de mes 40 ans ( il y a bientôt 13 ans) avec 2 diplômes universitaires, de formatrice et coach professionnel.

Mais le grand saut, c’est d’oser changer de vie et de métiers!
S’est alors posée la question de la légitimité.
Pourquoi me choisirait-on sur le grand catalogue des coachs ?
Là, je suis allé voir mon psy hihi, c’est plutôt bon signe dans la relation d’aide de se demander pourquoi on est né pour exercer telle ou telle activité !
Ça c’est la première clef déontologique, un coach a fait un travail thérapeutique.

J’ai rencontré des experts de l’accompagnement, de la relation d’aide de la psychopathologie du travail,  je me suis formée et j’ai reçu les enseignements de mes pairs Boris cyrulnik, Jean Claude Delgènes, Marie Pezé et aussi Mata Amritanandamayi, une figure spirituelle en Inde.

La deuxième clefs c’est la formation continue, j’ai passé ma vie sur les bancs de l’université, donc Paris 8 et différents organismes pour asseoir ma pratique et
éradiquer ce complexe de l’imposteur qui vient vous chatouiller dès que vous vous aventurez dans l’inconnu du changement.
Cela vous parle?
C’est pas parce qu’on a des jolis diplômes, des mentions, des éloges et un beau site, qu’on est prêt à accompagner en coaching.

C’est la troisième clé : relier la pratique et la déontologie.
C’est pourquoi je suis membre Conseil Européen du Coaching, du Mentorat et de la Supervision

Retrouver ici dans le détails les clauses de mon engagement.